Lu "no puelto" "nooo no puelto" "per la no puelto ?" l'espagnol repond, scandalisé ; "..espagnol langage.." en réponse à cette langue, "no abla espagnolo"
ou comment déstabiliser les venezulons (j'ai pensé), enfait je sais PAS comment on les dit. (comme des petits zebulons)
2minutes après (pour de vrai promis)
je viens d'apprendre que c'était pas un bébé animal (du zébu ou autre j'y croyais vmt)
j'ai les joues rouges, ce soir à table c'était aussi fruité en connerie que d'habitude, en fait c'est quand kéfin arrive j'en peux plus.

Cette nuit j'ai rêvé de mon rêve. Je souris

Je me disais que c'était amusant l'idée de sortir du bain en ayant comme mission de se sécher toutes les parties du corps une à unes pour stopper tout grelottement.
Elle m'a dit quelque chose que j'espère encore malgré tout; "je me vois dans le tramway pour aller la fac en plein hiver et écouter ça sur mon Ipod en pensant à toi et tes grands yeux".
Je cherche une nouvelle sonnerie de téléphone dans l'espoir de trouver bien sûr Celebration (kool and the gang) afin qu'en plein milieu de la journée, n'importe où, je puisse entendre par surprise un air de fête déjanté sans raison particulière.
J'ai froid au cœur de penser qu'on puisse plus partager tout. du tout. De toute façon je ne suis attirée que par ce qui me repousse..

note d'après rédaction :(je suis retombée dans l'article du 17 février)

Ce que j'aime m'acheter des plantes !Bien sur que c'est absurde.. allons

Je pourrai dire que je n'ai plus de temps à perdre mais je suis ici, ça ne rime à rien. iL me faut (j'adore ce "il" écrit comme ça tiens) vraiment me faufiler plus dans le milieu artistique tant que les chaises du Mirail me bloquent délibérément le passage de l'université. Voyons voir le guide touristique de mon village du minervois.. non jplaisante.
Ah comme j'ai envie de raconter ma vie! Ce ne serait pas raisonnable, et puis c'est mon second article de la soirée les amis (anonyme qui es-tu bordel) mais oui, le second parce que je m'efforce d'écrire dans sur celui portant sur l'art..
Entendons-nous j'écris juste comme ça.
En fait, j'espère bien récupérer l'amitié (de façon fourbe c'est vrai) de quelqu'un en écrivant ce mini passage du livre que je lis en ce moment..

Souvenir d'un esthète

"Brooklyn. Les rues bordées d'arbres. Le pont. Des églises et des cimetières partout. Et des confiseries. Un petit garçon aide un vieillard barbu à traverser et lui dit "Bon Sabbat". Le vieil homme sourit, et vide sa pipe sur la tête du gamin. L'enfant court en pleurant vers sa maison... Une chaleur accablante et humide s'abat sur le quartier. Les habitants sortent des chaises pliantes sur le trottoir après dîner, pour s'asseoir et causer. Brusquement il commence à neiger. La confusion règne. Un marchant descend la rue, vendant des bretzels chauds. iL est poursuivi par des chiens et se réfugie dans un arbre. Malheureusement pour lui, l'arbre est déjà rempli de chiens.
"Benny !Benny !" Une mère appelle son fils. Benny à seize ans, mais il est fiché par la police. Quand il aura vingt-six ans, il ira sur la chaise électrique. A trente-six, il sera pendu. A cinquante, il dirigera une petite affaire de nettoyage à sec. Pour l'instant, sa mère sert le petit déjeuner et comme la famille est trop pauvre pour acheter du pian frais,il tartine sa confiture sur du journal.

[...]

La Nouvelle-Orléans : un orchestre de jazz sous la pluie, dans un cimetière, joue des hymnes de dueil tandis qu'on porte le mort en terre. Maintenant les musiciens attaquent une marche entraînante et commencent leur parade, qui les ramènera en ville. A mi-chemin, toutefois , quelqu'un s'aperçoit qu'ils n'ont pas enterré le bon mort. De plus, ils ne connaissaient même pas celui-là. La personne qu'ils ont enterrée n'est pas morte, ni même malade puisqu'elle chantait la tyrolienne. iLs retournent au cimetière et exhument le pauvre homme, qui les menace de leur faire un procès, aussi lui proposent-ils de faire nettoyer son costume et de leur envoyer la facture du teinturier. Pendant ce temps, plus personne ne sait qui est le mort au juste. L'orchestre continu de jouer, pendant qu'on enterre successivement tous les hommes présents, selon le principe que le seul qui ne protestera pas sera le mort. Mais il apparaît très vite que personne n'est le mort, et maintenant il est trop tard pour se procurer un défunt, à cause des départs en vacances."

Il y a quelque chose dans cette amitié qui ne disparait jamais

Qu'il est chou ce Dylan
Qu'il est succulent ce sable
Qu'elles sont chouettes ces bosses
Qu'elle est effrayante cette vieille dans mon automobile
Qu'ils sont pervers ces orteils
Qu'elle est stressante cette batterie
Quelle sortie dois-je prendre ? ^-^
Qu'elle était bien cette après-midi à tes côtés

J'avais un blog, moche mais je l'aimais =) http://hellosmithers.canalblog.com/

Je suis son amoureuse et j'adore le Rouget.
Vous en savez plus, je peux zaller me coucher maintenant. u_u
Non en fait vous en voulez pas à vous, c'est surtout moi qui me suis habituée à une présence ici et vous voir abandonner ma page ça m'oblige à écrire des bidules. Surtout le type ou la curieuse de Paris du début du mois, on a pas encore été présenté; Bonjour! =D

Je suis allée le voler chez toi

Hier j'avais une belle tonne d'inspiration au sujet de ma nouvelle histoire, mais après l'écriture de multiples passages de l'histoire j'ai compris que je n'avais pas de vraie trame narrative, que personne n'aimerait lire une histoire sans rebondissement ^^.
J'ai envie de dire merde. C'est dur de faire toujours la fille joyeuse. Je suis qu'une petite gâtée pourrit. J'encule les extrémistes. J'ai envie de crier contre tout ce que je déteste, arrêtez de vouloir travailler dans la publicité, ( = message explicite que je ne pensais pas pouvoir caser avant bien longtemps). Achetez votre bonheur et lâchez moi avec cette histoire de fête ratée, ça va me suivre.

J'ai une amie L. c'est une chouette personne, incroyable même. Faites qu'elle me revienne.

J'ai pensé à tous ces rêveurs qui, vannés de toujours chercher la paix en vain, ont tournés le dos à leurs sociétés respectives pour désirer voyager leur vie entière durant. Et si je faisais partie de leur groupe ?Il y a du bon mais la facilité peut se cacher derrière ce genre d'idées. Quitter ses problèmes, son quotidien et surtout ses responsabilités. Après ça, les mots semblent enjoliver le concept:

Plus tard j'aurai une grosse camionnette cabossée et j'y mettrai un matelas à l'arrière, une grosse brique d'eau reliée à un tuyau et des réserves de Kango de Lu (et des carottes crues) et quand l'envie me prendra je roulerai la nuit en passant prendre des amies déprimées pour aller s'exiler dans des branchages et galérer à trouver des solutions autant morales que matérielles pour toutes ces choses auxquelles je n'aurais pas pensé avant mon départ. La nuit sur le sable, la journée dans les sapinettes et le dodo sur le matelas au calme.

La tarée.